Trappes • Une école transformée pour des enfants heureux
Trappes (78)
Trappes, banlieue parisienne en pleine mutation démographique, attire de nouvelles familles. Construite dans les années 1960, l’école Jean Macé, était devenue obsolète et ne pouvait accueillir les effectifs croissants d’élèves. Un projet de réhabilitation et d’extension est lancé. SOL propose une approche aussi minimaliste dans son impact que maximaliste dans ses effets. Fondé sur un diagnostic prouvant qu’il est possible de faire deux équipements en un, plutôt que d’édifier un bâtiment autonome sur les sur- faces extérieures de la cour, le projet optimise l’école existante tant par l’utilisation de la terre crue, qu’en transformant ses circulations et créant un nouveau hall d’entrée, de sorte à édifier les espaces périscolaires dans leur continuité. L’école est ainsi augmentée et sa chronotopie bouleversée par une approche qui pourtant relève de l’acupuncture, livrant un bâtiment désormais optimisé, écologique et énergétiquement efficace.
Le programme de l’école est un support de rencontre, un moment de façonnage des relations sociales. Le rapport social apparaît au cœur des rapports spatiaux. En instaurant des interfaces de dialogue, d’intégration sociale, l’architecture peut pleinement participer à de tels enjeux. Elle est garante de la préservation de l’intimité de l’enfant, de son exposition, de sa sécurité dans son rapport à la ville, à la rue et aux avoisinants.
LE REGARD DE L’ENFANT
L’enfant est un usager unique. L’Homme générant des espaces selon l’amplitude de ses mouvements, l’enfant expérimente un espace profondément différent de celui que connaît l’adulte. Nombre de normes et de dimensionnements standardisés ont vocation à s’adapter au mieux à ce dernier. L’espace a été conçu adapté aux besoins physiologiques de l’enfant et de l’adulte. Les espaces de circulation, d’apprentissage, de récréation sont tous concernés. Ils sont au cœur de l’expérience sensorielle dans laquelle l’enfant doit pouvoir évoluer sans obstacles ni conflit. Les espaces devront aussi s’accorder à être pratiques et agréables pour les adultes, au cœur de la transmission des savoirs
ENJEUX DE GENRE ET D’INCLUSIVITE
L’architecture peut contribuer à rendre l’espace dégenré et à faire en sorte que chacun.e y trouve sa place.
Objet générateur du projet de l'extension centre de loisirs, le mur masse et Brique de Terre Crue (BTC) en train d'être monté.
Client : Ville de Trappes
Photos : Clément Guillaume
Matériaux : ossature douglas, isolant laine de bois, mosaique Ezzari, enduits STO, briques de terre crue, sols souples caoutchouc naturel, , isolants acoustiques fibre naturelle, menuiserie int. contreplaqué de peuplier, menuiseries ext. chêne
Entreprises : Sylvametal, Le Corre, Rubner, AIRR, TAM, Planete Energie
Trappes, banlieue parisienne en pleine mutation démographique, attire de nouvelles familles. Construite dans les années 1960, l’école Jean Macé, était devenue obsolète et ne pouvait accueillir les effectifs croissants d’élèves. Un projet de réhabilitation et d’extension est lancé. SOL propose une approche aussi minimaliste dans son impact que maximaliste dans ses effets. Fondé sur un diagnostic prouvant qu’il est possible de faire deux équipements en un, plutôt que d’édifier un bâtiment autonome sur les sur- faces extérieures de la cour, le projet optimise l’école existante tant par l’utilisation de la terre crue, qu’en transformant ses circulations et créant un nouveau hall d’entrée, de sorte à édifier les espaces périscolaires dans leur continuité. L’école est ainsi augmentée et sa chronotopie bouleversée par une approche qui pourtant relève de l’acupuncture, livrant un bâtiment désormais optimisé, écologique et énergétiquement efficace.
Le programme de l’école est un support de rencontre, un moment de façonnage des relations sociales. Le rapport social apparaît au cœur des rapports spatiaux. En instaurant des interfaces de dialogue, d’intégration sociale, l’architecture peut pleinement participer à de tels enjeux. Elle est garante de la préservation de l’intimité de l’enfant, de son exposition, de sa sécurité dans son rapport à la ville, à la rue et aux avoisinants.
LE REGARD DE L’ENFANT
L’enfant est un usager unique. L’Homme générant des espaces selon l’amplitude de ses mouvements, l’enfant expérimente un espace profondément différent de celui que connaît l’adulte. Nombre de normes et de dimensionnements standardisés ont vocation à s’adapter au mieux à ce dernier. L’espace a été conçu adapté aux besoins physiologiques de l’enfant et de l’adulte. Les espaces de circulation, d’apprentissage, de récréation sont tous concernés. Ils sont au cœur de l’expérience sensorielle dans laquelle l’enfant doit pouvoir évoluer sans obstacles ni conflit. Les espaces devront aussi s’accorder à être pratiques et agréables pour les adultes, au cœur de la transmission des savoirs
ENJEUX DE GENRE ET D’INCLUSIVITE
L’architecture peut contribuer à rendre l’espace dégenré et à faire en sorte que chacun.e y trouve sa place.
Trappes • Une école transformée pour des enfants heureux
Trappes (78)
Trappes, banlieue parisienne en pleine mutation démographique, attire de nouvelles familles. Construite dans les années 1960, l’école Jean Macé, était devenue obsolète et ne pouvait accueillir les effectifs croissants d’élèves. Un projet de réhabilitation et d’extension est lancé. SOL propose une approche aussi minimaliste dans son impact que maximaliste dans ses effets. Fondé sur un diagnostic prouvant qu’il est possible de faire deux équipements en un, plutôt que d’édifier un bâtiment autonome sur les sur- faces extérieures de la cour, le projet optimise l’école existante tant par l’utilisation de la terre crue, qu’en transformant ses circulations et créant un nouveau hall d’entrée, de sorte à édifier les espaces périscolaires dans leur continuité. L’école est ainsi augmentée et sa chronotopie bouleversée par une approche qui pourtant relève de l’acupuncture, livrant un bâtiment désormais optimisé, écologique et énergétiquement efficace.
Le programme de l’école est un support de rencontre, un moment de façonnage des relations sociales. Le rapport social apparaît au cœur des rapports spatiaux. En instaurant des interfaces de dialogue, d’intégration sociale, l’architecture peut pleinement participer à de tels enjeux. Elle est garante de la préservation de l’intimité de l’enfant, de son exposition, de sa sécurité dans son rapport à la ville, à la rue et aux avoisinants.
LE REGARD DE L’ENFANT
L’enfant est un usager unique. L’Homme générant des espaces selon l’amplitude de ses mouvements, l’enfant expérimente un espace profondément différent de celui que connaît l’adulte. Nombre de normes et de dimensionnements standardisés ont vocation à s’adapter au mieux à ce dernier. L’espace a été conçu adapté aux besoins physiologiques de l’enfant et de l’adulte. Les espaces de circulation, d’apprentissage, de récréation sont tous concernés. Ils sont au cœur de l’expérience sensorielle dans laquelle l’enfant doit pouvoir évoluer sans obstacles ni conflit. Les espaces devront aussi s’accorder à être pratiques et agréables pour les adultes, au cœur de la transmission des savoirs
ENJEUX DE GENRE ET D’INCLUSIVITE
L’architecture peut contribuer à rendre l’espace dégenré et à faire en sorte que chacun.e y trouve sa place.
Objet générateur du projet de l'extension centre de loisirs, le mur masse et Brique de Terre Crue (BTC) en train d'être monté.
Client : Ville de Trappes
Photos : Clément Guillaume
Matériaux : ossature douglas, isolant laine de bois, mosaique Ezzari, enduits STO, briques de terre crue, sols souples caoutchouc naturel, , isolants acoustiques fibre naturelle, menuiserie int. contreplaqué de peuplier, menuiseries ext. chêne
Entreprises : Sylvametal, Le Corre, Rubner, AIRR, TAM, Planete Energie
Trappes, banlieue parisienne en pleine mutation démographique, attire de nouvelles familles. Construite dans les années 1960, l’école Jean Macé, était devenue obsolète et ne pouvait accueillir les effectifs croissants d’élèves. Un projet de réhabilitation et d’extension est lancé. SOL propose une approche aussi minimaliste dans son impact que maximaliste dans ses effets. Fondé sur un diagnostic prouvant qu’il est possible de faire deux équipements en un, plutôt que d’édifier un bâtiment autonome sur les sur- faces extérieures de la cour, le projet optimise l’école existante tant par l’utilisation de la terre crue, qu’en transformant ses circulations et créant un nouveau hall d’entrée, de sorte à édifier les espaces périscolaires dans leur continuité. L’école est ainsi augmentée et sa chronotopie bouleversée par une approche qui pourtant relève de l’acupuncture, livrant un bâtiment désormais optimisé, écologique et énergétiquement efficace.
Le programme de l’école est un support de rencontre, un moment de façonnage des relations sociales. Le rapport social apparaît au cœur des rapports spatiaux. En instaurant des interfaces de dialogue, d’intégration sociale, l’architecture peut pleinement participer à de tels enjeux. Elle est garante de la préservation de l’intimité de l’enfant, de son exposition, de sa sécurité dans son rapport à la ville, à la rue et aux avoisinants.
LE REGARD DE L’ENFANT
L’enfant est un usager unique. L’Homme générant des espaces selon l’amplitude de ses mouvements, l’enfant expérimente un espace profondément différent de celui que connaît l’adulte. Nombre de normes et de dimensionnements standardisés ont vocation à s’adapter au mieux à ce dernier. L’espace a été conçu adapté aux besoins physiologiques de l’enfant et de l’adulte. Les espaces de circulation, d’apprentissage, de récréation sont tous concernés. Ils sont au cœur de l’expérience sensorielle dans laquelle l’enfant doit pouvoir évoluer sans obstacles ni conflit. Les espaces devront aussi s’accorder à être pratiques et agréables pour les adultes, au cœur de la transmission des savoirs
ENJEUX DE GENRE ET D’INCLUSIVITE
L’architecture peut contribuer à rendre l’espace dégenré et à faire en sorte que chacun.e y trouve sa place.